Les yeux coulants sur l’altérité diverse
Le regard fuyant sur cette petite foule qui disperse
Des tappotements
Sur des écrans luisants
Dans la douce peinombre des néons brillants
Et quelques chuchottements
Qui résonnent sur le béton des couloirs mi-peuplés d’étudiants
Les yeux posés sur cette porte fermée
Qui soudain s’ouvre comme une aurore
Et aspire mes semblables dans un déport
Vers une nouvelle année